Personnel technique relié à l'ingénierie
Personnel technique assimilé aux sciences naturelles et appliquées
Estimateurs/estimatrices en construction
Description générale
Les estimateurs en construction analysent les coûts et préparent les évaluations des projets de génie civil, d’architecture ou de construction électrique, mécanique ou structurale. Ils travaillent pour des firmes de construction domiciliaire, commerciale ou industrielle, des entrepreneurs en électricité, en mécanique ou des entrepreneurs spécialisés, ou ils peuvent être des travailleurs autonomes.
Autres appellations d'emplois
- estimateur/estimatrice en construction de bâtiments
- évaluateur/évaluatrice en construction de bâtiments
- estimateur/estimatrice en chef – construction
- évaluateur/évaluatrice en chef – construction
- consultant/consultante en coûts de construction
- estimateur/estimatrice de coûts de construction
- évaluateur/évaluatrice de coûts de construction
- estimateur/estimatrice en électricité – construction
- évaluateur/évaluatrice en électricité – construction
- estimateur/estimatrice en mécanique du bâtiment
- évaluateur/évaluatrice en mécanique du bâtiment
- estimateur/estimatrice auprès d’entrepreneurs spécialisés – construction
- évaluateur/évaluatrice auprès d’entrepreneurs spécialisés – construction
- estimateur subalterne/estimatrice subalterne – construction
- évaluateur subalterne/évaluatrice subalterne – construction
- estimateur/estimatrice en plomberie – construction
- évaluateur/évaluatrice en plomberie – construction
- estimateur principal/estimatrice principale – construction
- évaluateur principal/évaluatrice principale – construction
- métreur/métreuse – construction
- économiste de la construction
- économiste en construction
- métreur/métreuse en électricité et en mécanique du bâtiment
- métreur-estimateur/métreuse-estimatrice
- métreur-évaluateur/métreuse-évaluatrice
- estimateur/estimatrice auprès d’entrepreneurs
- évaluateur/évaluatrice auprès d’entrepreneurs
- estimateur professionnel/estimatrice professionnelle – construction
- évaluateur professionnel/évaluatrice professionnelle – construction
- économiste en construction agréé/économiste en construction agréée
- estimateur/estimatrice en construction
- évaluateur/évaluatrice en construction
- estimateur en construction certifié/estimatrice en construction certifiée
Perspectives d'emploi
- Excellentes
- Bonnes
- Limitées
- Non-publié
Particularités
Pour travailler comme « estimateur/estimatrice en construction » :
- Pour porter le titre d’« estimateur en construction certifié AEÉQ – ESCQ », l’adhésion à l’Association des estimateurs et des économistes de la construction du Québec est obligatoire. Cette certification est habituellement exigée des employeurs au Québec.
- Il n’est cependant pas obligatoire d’avoir la certification pour exercer la profession, mais elle constitue un atout.
- Un diplôme d’études collégiales (DEC) en technologie de l’estimation et de l’évaluation du bâtiment, en technologie du génie civil, en technologie de l’architecture ou plusieurs années d’expérience en tant que travailleur qualifié dans un des métiers de la construction tels que la plomberie, la charpenterie ou l’électricité sont exigés.
- La certification canadienne (estimateur en construction certifié – ECC) émise par l’Institut canadien des économistes en construction peut être demandée.
- Voir également cette profession : Estimateurs/estimatrices et évaluateurs/évaluatrices (CNP 1314)
Pour des certifications en inspection de bâtiments, voir :
To work as a “construction estimator”:
- To bear the title of “AEÉQ – ESCQ certified construction estimator,” membership in the Association des estimateurs et des économistes de la construction du Québec is mandatory. This certification is usually required by employers in Quebec. However, it is not mandatory to have certification to practice, but it is an asset.
- A diploma of college studies (DCS) in building estimation and evaluation technology, civil engineering technology, or architectural technology or several years of experience as a skilled worker in one of the construction trades, such as plumbing, carpentry, or electricity, are required.
- The Canadian certification (Construction Estimator Certified – CEC) issued by the Canadian Institute of Quantity Surveyors may be required.
See also this profession: Assessors, valuators, and appraisers (NOC 1314)
For certifications in building inspection, see:
Para trabajar como "estimador de construcción":
- Para usar el título de “estimador de construcción certificado AEÉQ – ESCQ”, es obligatorio ser miembro de la Asociación de Estimadores y Economistas de la Construcción de Quebec. Generalmente, los empleadores de Quebec requieren esta certificación. Sin embargo, no es obligatorio tener la certificación para ejercer dicha profesión, pero esta representa una ventaja.
- Se requiere un Diploma de Estudios Colegiales (DEC) en tecnología de estimación y evaluación de edificios, tecnología de ingeniería civil, tecnología arquitectónica o varios años de experiencia como trabajador calificado en uno de los oficios de la construcción, como plomería, carpintería o electricidad.
- Se puede solicitar la certificación canadiense (estimador en construcción certificado – ECC) emitida por el Institut canadien des économistes en construction
Véase también esta profesión: Estimadores y evaluadores (CNP 1314)
Para obtener certificaciones de inspección de edificios, consulte:
Reconnaissance des compétences
Si vous souhaitez faire reconnaître vos compétences, voici quelques options possibles selon votre profil :
Numérotation des options de reconnaissance
Le titre professionnel « estimateur de la construction – ESCQ » s’obtient auprès de l’Association des estimateurs et des économistes de la construction du Québec (AEÉCQ)
Voir les différents parcours menant à la certification.
Ordre des technologues professionnels du Québec (OTPQ)
Les programmes collégiaux conduisant à la profession d’« estimateur/estimatrice en construction » constituent des technologies admissibles à l’OTPQ.
Le permis de l’OTPQ autorise une personne à porter le titre de « technologue professionnel (T.P.) ».
Il est possible de faire une demande d’admission par équivalence de diplôme ou de formation pour les personnes qui ont effectué leurs études à l’extérieur du Québec ou du Canada.
Différence entre technicien, technologue et technologue professionnel
N. B. : Il n’est pas obligatoire de faire partie de l’Ordre des technologues professionnels du Québec, mais l’adhésion à l’Ordre pourrait être un atout sur le marché du travail.
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Pour connaître les établissements offrant une démarche de RAC :
Choisir une région
N. B. : Il n’y a pas de démarche de RAC pour le DEC Technologie de l’estimation et de l’évaluation du bâtiment, toutefois, le DEC en technologie du génie civil, qui peut aussi être une voie de formation à la profession, en comporte une.
Ressources par région
Il est que le service de reconnaissance des compétences pour un programme donné ne soit offert que dans certaines régions du Québec. Si le service souhaité n’est pas présent dans la région recherchée, vérifier la possibilité qu’il le soit dans une région à proximité.
Apprenez en plus sur le Québec et ses régionsTrouvez des ressources spécifiques dans les régions suivantes :
- Abitibi-Témiscamingue
- Bas-Saint-Laurent
- Capitale-Nationale
- Centre-du-Québec
- Chaudière-Appalaches
- Côte-Nord
- Estrie
- Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
- Lanaudière
- Laurentides
- Laval
- Mauricie
- Montérégie
- Montréal
- Nord-du-Québec
- Outaouais
- Saguenay-Lac-Saint-Jean
Abitibi-Témiscamingue
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Bas-Saint-Laurent
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Capitale-Nationale
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Centre-du-Québec
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme
Chaudière-Appalaches
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Côte-Nord
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
- Cégep de Baie-Comeau
- Reconnaissance des acquis et des compétences
- Programme
Estrie
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Lanaudière
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Laurentides
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Laval
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Mauricie
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Montérégie
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Montréal
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Nord-du-Québec
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Outaouais
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
Aucun établissement de la région n’offre actuellement de démarche de RAC pour ce programme.
Saguenay-Lac-Saint-Jean
DEC Technologie du génie civil (221.B0)
- Cégep de Chicoutimi
Ententes de reconnaissance
Accord de libre-échange canadien (ALEC)
Les « dispositions (chapitre 7 de l’ALEC) permettent aux travailleurs qui exercent une profession ou un métier réglementé d’obtenir la reconnaissance de leurs qualifications, et ainsi pouvoir travailler n’importe où au Canada, sans avoir à se soumettre à des exigences supplémentaires significatives de formation, d’expérience, d’examens ou d’évaluations dans le cadre d’une demande d’accréditation permis sur permis ».
Entente entre le Québec et la France en matière de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles
Dans le cadre de cette Entente, un Arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM) établit les modalités de reconnaissance des qualifications professionnelles des personnes exerçant certaines professions de niveau technicien supérieur en France et de technologue professionnel au Québec.
Pour en savoir plus
Maîtrise du français
« Au Québec, le français est la langue officielle : celle de l’enseignement, du travail, des affaires, du commerce et de la culture. En vivant au Québec, vous utiliserez le français tous les jours. Parler le français facilitera votre intégration et votre participation à la société québécoise. »
Source : Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Apprentissage du français
Peut-être avez-vous besoin d’améliorer votre connaissance du français
pour faciliter votre intégration au Québec ? Voici les services qui
vous sont offerts :
- Services de francisation du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration
Banque d’exercices de français en ligne
- Services de francisation des centres de services scolaires
Consultez l’un des centres de services scolaires de votre région
- Services de francisation répertoriés par l’Office québécois de la langue française
Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
Ordres professionnels
- Les membres des ordres professionnels doivent avoir une connaissance du français appropriée à l’exercice de leur profession. L’article 35 de la Charte de la langue française indique comment faire la preuve de cette connaissance. Dans certains cas, les ordres professionnels dirigent leurs candidats vers le Service de l’évaluation du français des ordres professionnels de l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour qu’ils se présentent à un examen de français.
- Un candidat qui ne satisfait pas aux exigences de la Charte de la langue française, mais qui, par ailleurs, satisfait aux conditions d’exercice d’une profession régie par un ordre professionnel, peut obtenir un permis temporaire d’une durée maximale d’une année. Ce permis temporaire sera remis par l’Ordre concerné, accompagné d’un formulaire d’inscription à l’examen de français de l’Office québécois de la langue française.
- Un renouvellement du permis peut être envisagé, et ce, au plus trois fois. Tout renouvellement est conditionnel au respect de certains critères, dont l’intérêt public. La demande de renouvellement peut donc être refusée.
- Le permis temporaire est uniquement accordé au candidat diplômé à l’extérieur du Québec.
Office québécois de la langue française : examen de français
- Feuillet d’information : Le français, un tremplin pour exercer une profession au Québec
- Guide d’information du nouvel examen de français de l’Office québécois de la langue française
- Ressources intéressantes pour améliorer ses compétences en français oral et écrit
- Liste d’établissements offrant des cours de français, langue seconde
Programmes d'accompagnement
Ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI)
- Programme d’aide financière pour la formation d’appoint en reconnaissance des compétences : Le programme offre un soutien financier aux personnes qui se verront prescrire une formation par un organisme de réglementation. Cette formation doit conduire à l’obtention des permis nécessaires à l’exercice d’une profession. Plusieurs professions du secteur de la santé, de l’enseignement et du génie sont admissibles au programme d’aide financière (voir la liste complète).
- S’installer et s’intégrer au Québec
- Service d’intégration pour les personnes immigrantes
- Services offerts par les partenaires du MIFI
Conseils en emploi
- Accompagnement, counseling et soutien en matière de recherche d’emploi / Répertoire des organismes au Québec
- Guide pratique de recherche d’emploi / Québec
- PROFIL – Clinique juridique – Université de Montréal : La clinique offre un service d’information juridique personnalisé avant, durant et après le processus d’intégration pour exercer une profession ou un métier réglementé au Québec. Le service est offert gratuitement et sur rendez-vous seulement.
Prêts pour professionnels immigrants
La mesure Prêts pour la reconnaissance des titres de compétences étrangers (PRTCE) vise à aider des personnes formées ou diplômées à l’étranger qui éprouvent des difficultés financières lors du processus de reconnaissance de leur diplôme et de leurs qualifications professionnelles au Québec. Cette mesure d’aide financière est administrée par des organismes mandatés qui verront à ce que des établissements financiers attribuent des prêts à de faibles taux d’intérêt aux personnes admissibles.
Source: Gouvernement du Québec
Où faire une demande de prêt ?
Ces organismes sont mandatés par le gouvernement.
Liens utiles
- Estimateurs/estimatrices en construction | Gouvernement du Québec
- Association des estimateurs et économistes de la construction Québec
- Ordre des technologues professionnels du Québec (OTPQ)
- Association des inspecteurs en bâtiment du Québec AIBQ
- Association nationale des inspecteurs et experts en bâtiment ANIEB
- Association internationale des inspecteurs immobiliers certifiés InterNACHI
- Bureau des soumissions déposées du Québec (BSDQ)
Les champs suivis d'un asterisque sont obligatoires.
« * » indique les champs nécessaires