Heureux au travail grâce à la reconnaissance de ses compétences

Employabilité | Q2

08 novembre 2022

On parle de Qualifications Québec sur le site internet du journal Métro! Les témoignages de notre conseiller expert en reconnaissance des compétences, Lawrence et celui d’Andres, personne accompagnée par Q2 lors de son arrivée au Québec, démontrent à quel point la reconnaissance des compétences est vecteur d’une intégration socioprofessionnelle réussie.

Alors que le Canada augmente ses seuils d’immigration pour combler ses besoins de main-d’œuvre dans les années à venir, François Legault souhaite limiter le nombre de nouveaux arrivants au Québec à 50 000 par année « pour mieux les intégrer ».

La reconnaissance des acquis et des compétences des personnes immigrantes joue donc un rôle clé dans la stratégie pour remédier à la pénurie de main-d’œuvre au pays, leur permettant de s’intégrer plus facilement au marché du travail et d’occuper un emploi à la hauteur de leurs compétences. 

« C’est une situation gagnant-gagnant », lance Andrés Rubiano, diplômé en mécanique de motocyclettes au SENA (Service national d’apprentissage) en Colombie, qui a réussi à obtenir une certification de qualification professionnelle à titre de technicien de véhicules de loisir, quatorze mois après son arrivée dans la Belle Province.

« Quand on peut exercer le métier qui nous rend heureux, on travaille avec passion, tandis que, si on est obligé de changer de domaine et de travailler dans n’importe quoi à défaut d’obtenir ses équivalences, ça devient lourd », renchérit l’homme de 46 ans, qui rêvait « d’être mécano de Harley Davidson » lorsqu’il travaillait dans son Bogota natal.

À son arrivée au Québec au printemps 2015, M. Rubiano a appris qu’il devait détenir un diplôme d’études professionnelles (DEP) en mécanique automobile et un DEP en mécanique de véhicules de loisir et d’équipement léger pour pouvoir exercer au Québec le métier qu’il pratiquait depuis 2011.